L’UNESCO apparaît dans plusieurs romans, soit comme décor soit par le biais d’un personnage.
L'UNESCO dans la littérature
La position du tireur couché
« Stanley avait un travail à l’UNESCO ; il faisait des voyages dans des endroits inattendus comme le Turkestan ou les Philippines. » La position du tireur couché Jean-Patrick Manchette, 1981.
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La tante Julia et le scribouillard
«Ce qu’il y a de sûr, c’est que j’eus beaucoup de chance. En enseignant l’espagnol à l’école Berlitz de Paris, en rédigeant des nouvelles pour l’agence France-Presse, en traduisant pour l’Unesco, en doublant des fi lms dans les studios de Gennevilliers ou en préparant des émissions pour la radio-télévision française, j’avais toujours trouvé des emplois alimentaires qui me laissaient, au bas mot, la moitié de mes journées exclusivement pour écrire. »
La tante Julia et le scribouillard
Mario Vargas Llosa, 1977.
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Homo Faber. Un Rapport
"I sat down in my old seat and, in order not to be disagreeable, told him I was concerned in TECHNICAL AID TO UNDERDEVELOPED COUNTRIES (…). He seemed to be impressed by UNESCO, as he was by anything international, he stopped treating me as a “Switzer” and listened as though I were an authority, with positive reverence, interested to the point of subservience (…)" Homo Faber : A Report Max Frisch, 1957.
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Small World
“And what else,” said Morris, with studied casualness, “do they say about this chair?” He did not really have to wait for her reply to know that here, at last, was a prize worthy of his ambition. The UNESCO Chair of Literary Criticism! That had to carry the highest salary in the profession.” Small World David Lodge, 1984.
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